
À Salaberry-de-Valleyfield, le 28 juillet 2013, à l’âge de 90 ans, est décédée Mme Lucille Courchesne, épouse de feu M. Maurice Veber, mère de feu Michèle, résidant à Salaberry-de-Valleyfield. Elle laisse dans le deuil son frère Roméo (Géraldine), ses neveux et nièces Sylvie et Claude Courchesne, Suzanne Brisson ainsi que parents et amis. Les funérailles auront lieu le vendredi 2 août à 14h en l’église Sacré-Cœur-de-Jésus, 205, rue Alphonse-Desjardins, Salaberry-de-Valleyfield. Inhumation au Cimetière de Valleyfield. Des dons à la Fondation de l’Hôpital du Suroît, 150, rue St-Thomas, Salaberry-de-Valleyfield, Québec, J6T 6C1 seraient appréciés. Sous la direction funéraire de J. A. Larin & Fils Inc. 317, rue Victoria, Salaberry-de-Valleyfield, Qc. (450) 373-3636 www.jalarin.com
Offrez vos condoléances à la famille de Mme Lucielle Courchesne Veber
sincères sympathies aux familles Courchesne et Véber.
Lucille tu vas revoir Michèle après tant
d’années, ainsi que Maurice.
Au revoir,
Monique g.
Nous offrons nos sincères condoléances à la famille de Mme Véber.
Nous avons vécu avec elle des moments de grande joie et nous nous en souviendrons.
Nos pensées vont à ceux et celles qui l’ont cotoyée au cours de sa vie.
André et José
(Québec)
J’aimerais offrir mes condoléances à la famille de Madame Véber. Michèle était ma Grande Amie et j’étais toujours chez Monsieur et Madame Véber. Madame Véber était ma 2ième mère et comme dirait les jeunes »elle était plus cool que la mienne ». J’ai vécu me merveilleux moments et quand Michèle est décédée, je devais être avec elle dans l’auto ce soir là mais un empêchement m’est arrivé. Le hasard de la vie! J’aurais une chose à vous demander si vous le pouvez. Tout ce qui me reste de souvenir de Michèle c’est sa dernière lettre qu’elle m’a écrite lors de ses études. Depuis toutes ces années, je l’ai conservée et je la relis souvent. Je n’ai pas de belle photo de Michèle. Si vous en avez une, quel plaisir vous me feriez en me la faisant parvenir. Vous pouvez me l’envoyer par courriel ou à mon adresse: 24 Terrasse St-Augustin, Valleyfield Qc J6T 3K5 Ce serait pour moi un magnifique cadeau. Merci et je suis certaine que Madame Véber a retrouvé tout son petit monde. Francine Dorais.
Mes condoléances à tous les proches de Lucille, « ma tante Lucille » comme nous l’appelions. Nous avons bien connus Lucille et Maurice son mari. Enfants et voisins à leur chalet de Saint-Anicet nous les avons côtoyés pendant des années. Ils étaient de grands amis de nos parents. Nous en gardons un très bon souvenir, ils furent des figures marquantes de notre enfance. Nous avions visitée ma tante Lucille l’an dernier avec un grand bonheur malgré qu’elle soit mal en point. Qu’elle repose dans la paix.
Toutes mes condoléances à la famille et aux amis. C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris récemment le décès de ma tante Lucille. Son départ m’a fait revivre de nombreux souvenirs. Elle a toujours été présente dans mon coeur. Je garde d’elle l’image d’une femme forte, joyeuse, lucide et réaliste. Une bonne amie de ma mère Juliette; elles ont partagé les grandes étapes de leur vie, les mariages, les naissances, les décès… Nous avons été voisins de chalet pendant longtemps et je me souviens très bien quand elle traversait, tôt le matin, avec sa cafetière pour déjeuner avec Juliette.
Maurice Veber et Maurice Demers (mon père) ont aussi partagé de bien beaux moments. Et puis, comment penser à Lucille sans penser à Michèle, sa chère fille, qu’elle a peut-être rejoint.
La dernière fois que j’ai parlé à Lucille au téléphone, l’été dernier, elle était passablement souffrante. La voici soulagée.
Tante Lucille, je t’aime fort, je pense à toi et je ne t’oublierai pas. Aline xxx
Toutes mes sympathies à la famille, aux amis.
J’aimais beaucoup ma tante Lucille et mon oncle Maurice, son mari. Ils représentaient la force, le plaisir et le bonheur.
J’aimais beaucoup Michèle aussi, leur fille: nous étions nés presque le même jour, de parents qui, de surcroît, s’étaient mariés le même jour; je me souviens que nous étions allés au cinéma ensemble et que je lui avais pris
la main, au bout du quai qui s’avançait dans le lac St-François. Mon coeur battait et sa mort tragique m’a fait vieillir bien vite.
Enfin, c’est la vie.
Requiescat in pace.
Pierre